Les stances à Sophie Tu me demande tes cheveux ta photographie Ton éponge à cul ton bidet de métal J'en suis tres heureux ingrate Sophie Et te renvoie le tout par colis postal Tu veux faire la peau un métier de grenouille Et me remplacer par d'autres amants Mais vois tu je m'en fous comme de la peau de mes couilles Car tu pues de la gueule et t'as le con trop grand Quand Je t'ai rencontrée un jour dans la rue Où tu dégueulais tripes et boyaux Si je m'etais douté que tu fusses une grue J' t'aurais fait passer par le trou des goguenots Mais je t'ai recueuillie ah ce que j'étais bête Car le lendemain je me suis aperçu Qu' j'avais des morpions des pieds à la tête Des poils du nombril jusqu'au trou du cul Puis le lendemain t'avais tes affaires Le sang inondait la chambre à coucher Et j'ai consenti pour te satisfaire A te sucer le con pour le mieux sécher J'ai même aspiré de tes pertes blanches Mais quand je voulais tirer un bon coup Tu ne gigotais pas plus qu'une planche Et je m'esquintais pour rien faire du tout Et puis tu avais des passions honteuses J'en rougis encore rien que d'y songer Et pour apaiser ta chair luxurieuse A tous tes caprices il fallait céder N'as tu pas voulu que ma langue se perde Dans les plis profonds de ton trou du cul Je l'ai retirée toute pleine de merde J'en ai dégueulé tu n'en as rien su Adieu pour toujours va tu me dégoûtes De toi je me fous je sais me branler Je ferai gicler mon sperme goutte à goutte Plutôt que d'revenir te caramboler Tout est bien fini je te le dis sans clauses N'ayant plus de putain je ne serai plus cocu Et si par hasard je te remets quèquechose Ce ne sera jamais que mon pied dans le cul