Les tremblements de terre Les tremblements de terre La foudre et le tonnerre Ne sont pas ce qu'on dit Ne sont pas ce qu'on dit Lorsque la terre tremble Ce sont les dieux qui s'branlent Au fond du paradis Au fond du paradis C'est le beau Ganymède Qui tient la pine raide Du puissant Jupiter Du puissant Jupiter Il le branle en cadence Ses couilles se balancent Jusqu'au fond des enfers Jusqu'au fond des enfers La belle Diane lasse Des plaisirs de la chasse Repose dans le vallon Repose dans le vallon Elle sent avec délice Glisser entre ses cuisses Le beau vit d'Apollon Le beau vit d'Apollon Les trois Parques fileuses Sont trois filles péteuses Qui tiennent entre leurs mains Qui tiennent entre leurs mains En guise de quenouille Le fin poil noir des couilles Du maître des humains Du maître des humains Dans un boxon d'Athènes Le puissant Démosthène Enculait Cicéron Enculait Cicéron Le jus philosophique Des pines helléniques Coulait à gros bouillons Coulait à gros bouillons Et quand le vieux Neptune Sans dépenser une thune Carambolait Simon Carambolait Simon Sa pine boucanée De poils toute bouclée Lui servait d'aviron Guidée par ses roustons Les tremblements de terre La foudre et le tonnerre Ne sont pas ce qu'on dit Ne sont pas ce qu'on dit Lorsque la terre tremble Ce sont les dieux qui s'branlent Au fond du paradis Au fond du paradis